Début d'une transcription de... Il était une fois... Un jeu par ThesmallgamerS, inspiré d'un jeu d'Hugo Labrande Contact : tempoola_at_yahoo.fr Tapez 'aide' ou 'crédits' pour en savoir plus Release 3 / Serial number 071011 / Inform v6.31 Library 6/11 S Standard interpreter 1.0 (1F) / Library serial number 040227 >* étagère / tons pastels / vous l'aviez rangée / représentant [Commentaire enregistré.] >* d'ailleurs c'est "dans de jolis tons pastels" [Commentaire enregistré.] >* bibliothèque fatiguée [Commentaire enregistré.] >nord Vous ne pouvez pas aller par là. >l Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >* de tous les plans / accumulés / utilisés depuis... [Commentaire enregistré.] >regarder etagere C'est une étagére cloué à la va-vite sur le mur par des gobelins sous payés (a l'arbaléte). Dessus, on peut voir une boule de cristal, une vieille lampe à huile et un jeu de carte étrange. >*clouée / à l'arbalète / sous-payés [Commentaire enregistré.] >regarder dans la boule Vous ne trouvez rien d'intéressant. >x boule Une boule de cristal, ça ressemble à une boule faite en cristal, ou à du cristal qui aurait pris la forme d'une boule. Enfin, peu importe... Sauf que cette boule là vous a été offerte par une vieille gitane et serait capable de reveler ce qui serait caché. Vous ne l'avez jamais utilisé jusqu'ici. Tout le monde sait que les vieilles boules donnée par des vieilles qui perdent la boules sont source d'ennuis plus qu'autre chose. Mais peut-être pourriez-vous l'utiliser pour en savoir un peu plus, qui sait ? >* révéler / l'avez jamais utilisée [Commentaire enregistré.] >utiliser la boule Je ne connais pas ce verbe. >* perdre la boule ;) nan je plaisante ok je -------> [Commentaire enregistré.] >prendre la boule Vous regardez dans la boule de cristal, et sous vos yeux éberlué vous voyez les petits nuages disparaître. Une petite silhouette apparaît. Son visage est impossible a voir dans la pénombre environnante, mais elle est assise et semble regarder une surface, un cube lumineux. Alors que vous plissiez des yeux pour voir plus attentivement le cube, la caméra se rapproche d'elle même.Vous lisez. Vos yeux s'écarquillent. Ainsi inscrite en lettre de feu se trouve vos impressions, vos sentiments, votre vie. L'être pianote alors quelque chose sur une surface invisible, et votre vie se déroule sous vos yeux Dans un élan de comprehension profonde, délirante, absolue, vous comprenez que vous n'êtes que le produit de cela, - Non ! Ce n'est pas possible ! Criez-vous, mais a l'instant même où vous criez, vous voyez votre cris apparaître sur l'étrange cube. Quel est donc cet être dont la silhouette ne peut être découverte par la boule ? Est-ce un dieu ?! Est-ce l'immortel ?!! Non ! Cela ne se peut... Mais vous comprenez que pourtant, si. Et au même moment où vos pensée s'affiche dans le cube, a l'instant même, elles se devellopent en vous. Vous prenez une arme, n'importe laquelle : Le sabre sur le ratelier fera parfaitement l'affaire. Alors, dans un instant d'horreur indicible, abasourdis par la puissance de la révélation, vous levez le sabre - et vous vous décapitez d'un coup net Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) >Début d'une transcription de... Il était une fois... Un jeu par ThesmallgamerS, inspiré d'un jeu d'Hugo Labrande Contact : tempoola_at_yahoo.fr Tapez 'aide' ou 'crédits' pour en savoir plus Release 3 / Serial number 071011 / Inform v6.31 Library 6/11 S Standard interpreter 1.0 (1F) / Library serial number 040227 >x porte La porte de votre bureau, acajou et chêne sculpté dans un très chic style art-déco, années 1950, 1960. Une petite plaque en or est posé dessus : Ici on fait peut-être le mal, mais on le fait bien !!! La plaque est un cadeau de votre mêre. Vous n'avez jamais vraiment eu le coeur de lui dire que la blague était vraiment, vraiment trop nulle. >* mdr, très bon le "on le fait bien" !! sinon ortho : mère / est posée [Commentaire enregistré.] >ouvrir la porte Ah ! En voilà une bonne idée ! On sent l'expérience multimillénaire d'un démon retors et puissant. Peut-être que d'autre que vous ne se seraient pas précipité tête baissé a l'origine d'un cri bestial et inhumain, mais pas vous ! Non, vous, on ne la fait pas. Vous savez pertinement que les pièges, c'est pour les autres, et c'est fort de cette certitude qui vous a mené là où vous êtes que vous vous approchez de la porte dans l'intention ferme de l'ouvrir. Non mais ! Mais quel est donc ce bruit ? A peine avez-vous fait quelques pas qu'un son lourd et electrique, comme un bzzzz surdimensionné, retentit de l'autre coté de la porte. Tiens, c'est bête, on dirait presque une... une.. une Holy grail-avenger demonslayer, un sabre lumière tueur de démon. Mais franchement, une Holy grail-avenger demonslayer, ici... Vous tournez la poignée de la porte. A l'instant même où vous l'ouvrez, emporté par son élan, un jeune homme passe devant-vous et se ramasse sur la bibliothéque. Son visage hautement imbécile, parsemé de bouton d'eckzema, ses oreilles en choux-fleurs et ses deux yeux qui louchent le désigne immédiatement pour ce qu'il est : un pédigré pal... euh... un paladin. La Holy brille dans ses mains et il vous regarde d'un air bouffis et vaguement débile. - Haha ! Démon ! Tes ruses maléfiques ne m'ont pas eu, serviteur du Malin ! Il parle de sa tentative raté pour défoncer votre porte récalcitrante - Prépare toi à mourir, tentateur aux milles visages ! Et sur ces paroles, il vous charge tête la première. - Pourquoi ? La question arrête le loyal con en plein élan, qui trébuche et tombe a nouveau. - Pourquoi quoi, oh Créature des Ténébres ? Je suis un paladin de Titi et Grosminet, les Dieux jumeaux de la Justice et des Canards de Bains ! Je suis né pour te tuer, infâme Sorcier Implacable, car je suis Ton Nemesis. - Ecoutez, lui répondez-vous, on ne peut pas discuter, trouver un terrain d'entente... Ça vous dirais une part des plus values réalisé sous forme de stock-option ? Avec les tendances de la bourse actuelle, vous pourrez vous faire d'ici une dizaine de siècle, quoi, peut-être 10, 20 000 pièces d'or. - Ne l'écoute pas, Henry, entendez-vous derrière vous, il essaye de te pieger ! Saisi par la surprise, vous vous retournez - pour voir dans l'encadrement de la porte un groupe d'aventurier dans la plus grande splendeur de l'art : Une elfette tenant un arc d'un doigt habile, un nain grognon et pas content, un voleur calme et propre sur lui, et même la magicienne qui vient de parler. Vous ne pouvez rien faire. En une seconde, flêche, boule de feu, dague et hache de bataille s'enfonce dans votre poitrine, bientôt accompagné par la Holy. Jamais vous ne saurez comment ces aventuriers ont réussi a s'enfoncer si loin dans votre donjon, mais une chose est certaine : La Holy, ça pardonne pas. Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) > Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >x bibliotheque Grande bibliothéque en obsidienne importé d'enfer, dont les rayonnages chics sont recouvert de Livres Qu'Il Faut Avoir Lu mais que personne ne lit jamais. Une version traduite du Nécronomicon, superbement enluminé et traînant la poussière, des grands classiques comme "Romero et Caspiette" et les collections complètes d'auteurs de la grande antiquités, "l'Odyssée 1", "l'Odyssée 2, le retour", "l'Odyssée 3, la revanche de l'Odyssée". Dans un coin plus petit, vous avez entreposé les livres que vous lisez vraiment. "Les Trentes Principes économiques Donjonnesque", des vieilles revues de "Démon Magazine", "Lancer un sort de magie en six leçons sans tout faire pêter" et le fameux "Howto Conquier the World", compendium hermétique de tout les moyens de conquerir, puis de garder, un monde de taille raisonnable. >prendre livre Eh ! Pourquoi pas ? Bouquiner vous ferait du bien. Vous trouverez peut-être même un indice dans ce fratras de livres que vous n'avez jamais lu. Mais lequel ? Vous vous attardez sur les tranches de livres plus soporifique les uns que les autres, puis finalement, vous vous arrêtez sur le Necronomicon. Si vous le commenciez, vous aurez peut-être l'air moins bête dans les rendez-vous du club littéraire des Septs Styx. Toujours à se moquer de vous parce que vous ne lisez pas l'Orc dans le texte ! Qu'est-ce que cela peut vous faire, le renouveau littéraire orquoïde ? La quatrième de couverture représente la gravure du grand Chmullu en train de pioncer dans sa cité sous marine. Il faut admettre qu'il a la classe américaine, ce grand ancien. Juste en dessous en lettre d'or est gravé le slogan de son entreprise, "N'est pas Mort qui a jamais dort, et au fil des éons peut mourir même la mort". Vous avez toujours trouvé cette devise très impressionante et vraiment bien trouvé. Malheureusement, votre tentative de crédo directement inspiré "Ne Dort pas qui est mort, et s'il dort sur une éolienne, il peut mourir" n'a jamais bien fonctionné. Vous l'ouvrez a une page aux hasards et admirez les images de scénes apocalyptiques. Y'a pas à dire, pensez-vous en sautant le texte pour directement aller aux illustrations, le Necronomicon est vraiment un livre remarquable, presque un objet d'art. Les lettres suintent dangereusement ce qui ressemble a du sang et les images tourbillonnent dans d'indicible mouvement giratoire. Tandis que vous posez votre main dessus, vous sentez les pulsations d'un souffle méchants. C'est pas un livre pour tafiole, c'est certain. Bon, vous êtes quand même, au départ, venus pour le lire. Là encore, vous ouvrez le livre a une page au hasard et tombez sur un morceau de texte en Runique. Peste ! Alors... H... A... S... Pfiouuu. Vous n'arriverez à rien comme ça. Pour la bonne conscience, vous tentez néanmoins de finir le mot. Alors... - Hastiour ? Haspir ? Haspic ? Non, ce n'est pas ça. Bah ! Vous refermez rageusement le livre. Ce n'est pourtant pas compliqué... Les souvenir de votre Runique d'antan ne sont peut-être pas très vivace, mais vous avez toujours été un as dans cette matière (a cause d'une belle démone qui se trouvait dans cette classe, enfin bref). Vous faites les cents-pas au milieu de votre bureau. - Haslur ! Non. Hasffsur, plus, plus comme quelque chose comme... Hasdur ? Hasdsur ? Finalement, ça vous revient. Evidemment ! - Haha ! C'est Hastur ! Hastur ! Hastur, bien sûr ! Comme dernières paroles, vous auriez quand même pu trouver mieux. Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) > Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >x bureau Ah... Votre bureau, votre outil de travail numéro 1. C'est bien gentils de faire des veuves et des orphelins, de violer les premières et de manger les seconds, mais sans une sacrée organisation de tout les instants, votre si beau Donjon partirerait en morceau. Sur le plan de travail en bois, un tas de dossiers causé par la dernières grève des fées et autres nymphes féeriques est jeté en pature au chaos le plus complet. Il faudrait penser à les ranger... Une nymphe, c'est vraiment utile pour attirer la piétaille elfique par ici, mais qu'est-ce que c'est embêtant ! Vous n'aviez pas ce genre de problème avec les gobelins. Bon, ces derniers ont du mal a se souvenir de leur noms, mais ces séides maléfiques n'ont jamais organisé de grêves, eux. Un petit tiroir S'OUVRE (OUI, S'OUVRE) dans le renfoncement de votre bureau, et une petite chaise fort inconfortable est posé derrière. Il y à un certain temps que vous songez à la changer, mais comme tout les démons, vous n'aimez pas beaucoup le confort, même si ça veut dire avoir le dos en compote et quatre cervicale déplacé après une séance de travail. >s'assoir Je ne connais pas ce verbe. >s'asseoir Vous ne pouvez pas aller par là. >entrer dans la chaise Vous jetez un regard noir à la chaise. Quelque part au fond de votre coeur noir comme l'ébéne, vous savez que la chaise est pensante. Il ne faut pas se fier à ces petits airs naïf et ingénue : La chaise est... la chaise est un ennemi intime. Pervers. Vicieux. Une invention des puissances de la ruine pour vous mortifier et vous detourner du droit chemin. Mais vous aussi, vous pouvez jouer à ce jeu là. C'est avec un plaisir sans cesse renouvelé que vous posez vos fesses dessus. Ce ne sera pas une chaise qui portera la culotte dans votre bureau, non mais ! Vous vous asseyez et cambrez le dos, conscient d'avoir remporté victorieusement une bataille contre la chaise maléfique. Blam ! Vous tombez cul par dessus tête ! Mais que ? A la place de la chaise se trouve un jeune homme tout déparaillé. Il vous regarde avec un air concentré. - La sorcière des Bois Verts m'avait jeté un mauvais sort, messire, pour me transformer en chaise. Seul les fesses d'un démons milles fois posées pouvaient me guerir d'un sortilèges A peine surpris - ce sont des choses qui arrivent dans votre profession, vous retorquez : - Pourquoi pas n'a t-elle pas lancé la traditionnelle malédiction grenouille et baisé de princesses ? N'est-ce pas ce que fait toute bonne sorcière ? - Oui, et c'est là le problème messire. Il y a tellement de prince transformé en grenouille dans le Bois Verts que c'est remplis de jeune princesses, du soir au matin, qui pataugent dans les mares en embrassant tout ce qui croâsse. Vous songez aux chances infinitésimales pour que la chaise tombe sur un démon, puis, que pour aussi inconfortable qu'elle soit, il s'y assoit mille fois. - Pour être aussi favorisé par le destin, demandez-vous, ne serais-tu pas un Héros ? - Oui messire, Héros engagé dans une longue quête. Vous soupirez. La différence entre Héros et Aventuriers est un peu la même qu'entre caviar et oeufs de lympes. Un Héros en quête est immortel - c'est dans toute les bonnes histoires. Et même s'il rencontrera des dangers sur sa route, il parviendra toujours a les surmonter. - Dans ce cas... tu sais... Je suis un démon et toi, un Héros en quête... Il faut une grimace. - J'espérais ne pas avoir a aborder ce sujet moi-même, dit-il. Mais vous comprenez... Cela ne ferais pas une bonne histoire si je ne tuais pas tout les démons que je rencontrerais. Vous acquiescez. Contre un vrai héros en quête, vous défendre serait inutile : Même réduit en morceau, même largué au pôle nord pour toute nourriture que ses propres jambes, il reviendra obligatoirement, dans un mois ou dans un ans, et vous tueras. Le Destin est avec lui. - Dans ce cas, si tu pouvais... Tu sais... Ne pas trop me faire mal, ce serait gentils. Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) > Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >* pour "s'asseoir" sur la chaise tu peux sans doute creer un verbe synonyme... [Commentaire enregistré.] >x peinture Vous vous approchez du tableau quand soudain, des bruits sourds se font entendre de l'autre coté du mur. - Eh, Charlie ! - Chuuuuuuuut. - Viens là s'il te plaît, nous sommes tombé sur un dépot argineux calcaire de type 48A sur une inclusion de 30, peut-être 31 degrées. - Ça, une inclusion de 30 degrée ? C'est du 27 au moins. Tandis que vous restez ébahis devant ce prodige, un petit morceau de pierre se détache du mur et une tête affreusement moche passe par la petite ouverture.A la vue de cette face horrible et hirsute, vous comprenez immédiatement qui sont vos interlocuteurs : il s'agit de nain des montagnes. En quelques instants, votre bureau est remplis de gros barbares poilus et sentant l'alcool. Un petit nain s'avance, plus grognon et plus méchant que les autres - il semble être le chef. - Et bien, par la barbe du Syndicat des Mineurs et Autres Profession Apparenté, nous ne nous attendions pas à ça. Nous avons dû couper au mauvais endroit après le golem de pierre du sixième étage. Dite ! Ça aurait bien besoin d'être remblayé, toute votre installation, vous savez. Guili, fils de Guili, s'est reçu la moitié de l'aile ouest sur la tronche lorsque nous avons dû détruire l'ensemble des remparts Sud. Il faut quelques instants pour reprendre vos esprits. - Vous voulez dire que vous creusez dans MON donjon ? - Eh ! Oh ! Petit pêre, il faut se calmer. Pour toute réclamations, il faut s'adresser au délégué syndical, moi je ne peux rien faire. - Surtout depuis que notre délégué s'est fait descendre devant la mine de jaspe, hein, A'brrr, fils d'Uti ? Un mince sourire passe sur la face du chef en se rappellant la beauté enchanteresse de... de quoi, déjà ? - Du jaspe ! Imbécile, Guili-Guili, c'était du Jade. Tu ne sais même pas faire la différence entre du jade et du jaspe ! - Et toi, tu n'es qu'un petit ! A ces mots, un chuchotement de violence divisent le groupe de nain en deux, hurlant soit jaspe, soit jade, assortis des jurons guturaux propre a l'espèce naine. Guili-Guili se retranche derrière le bureau avec une poigné de fidèle, tandis qu'Abrrr'uti sort de sa sacoche un énorme mousquet a silex. Vous avez a peine le temps de vous interposer entre les deux que la balle vous touche en plein ventre. Quel dommage qu'elle soit en argent, ce métal qui, traditionnellement, est capable de blesser les démons ! Quel dommage aussi que les compagons de Guili-Guili répliquent immédiatement, trouant votre si beau, si viril ventre de dizaine d'éclats mortels. C'est bête, hein... Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) > Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >x armes Vous ne pouvez voir une telle chose. >x arme Vous ne pouvez voir une telle chose. >x ratelier Le ratelier est un petit meuble d'acier où se trouve vos deux plus belles pièces de collection : une épée bâtarde étrangement sculpté et une arbalète à poulis lorgnant coté baliste de guerre lourde. Peut-être que prendre une arme serait une bonne idée... Mais la violence n'amene que la violence, dit-on. >x epee Une épée pour qui le mot maléfique a été forgé. Le dictionnaire des synonimes n'est pas assez grand pour qualifier l'inqualifiable vilennie, l'effroyable terreur, l'indicible horreur sans nom de ce sabre maléfique. Des flammes ténébreuse coulent sur la lame. Sur le pommeau est gravé en lettre de feu le nom de l'arme : StormWorldReaperBringerCharclerDoomer, l'épée du mal. Récupéré sur un aventurier pas très malin, avec des cheveux tout blanc et des yeux rouges, vous êtes plutôt content de votre trouvaille. >prendre epee Vous saviez pourtant que StormWorldReaperBringerCharclerDoomer n'était pas une arme a se laisser facilement contrôler. En voilà que c'était un vrai arme maléfique, pas une de ces armes qu'on donne aux enfants pour qu'ils fassent mumuse tout seul. A l'instant même où vous la prenez dans votre main, vous sentez votre âme être aspiré par l'arme avide et des torrents de haine consumer votre corps. La Lame Maudite a enfin trouvé un nouveau porteur. Tremblez, le Monde ! Tremblez, car StormWorldReaperBringerCharclerDoomer marche a nouveau ! Sauf que vous n'avez pas d'âme, et que les torrents de haine, c'est un peu votre tasse du café du matin pour vous reveiller après une bonne nuit de sommeil réparateur. Vaguement étonné, l'epée décuple sa puissance, puis s'arrête brusquement. - Euh... Liche ? La voix metallique, étrangement vicieuse, résonne dans votre esprit, un peu contrarié. - Non. - Demi-liche ? - Non. - Quart de liche ? Lichette ? - Non, non ! - Cultiste de Chmullu ? - Non. - Dragon noir ? - Nooon ! Pendant que l'epée s'enfonce dans une rêverie boudeuse, vous la posez sur le sol, pointe vers le bas, où elle tient toute seule. Bon, c'est une épée maudite, comme environ toute les Epées Vraiments Puissantes, finalement - et qui dit malédiction, dit aussi esprit semi-humain accordé à l'objet. Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi il fallait absolument que les E.V.P soit toujours maudite. Certainement une condition scénaristique, comme le fait que les E.V.P soient toujours forgés par des petits vieux dans les montagnes en se servant de la lave d'un volcan particulièrement mauvais. - Bon, je sais, finit par dire l'épée, tu es un démon ! - Bravo ! Lui répondez-vous, sarcastique, mais la lame vous regarde avec un air particulièrement mauvais, pour autant qu'une arme puisse avoir un air particulièrement mauvais. - Quand le grand ancien maître des Nartopiker me forgea dans les tréfonds de la montagne de la destinée, expliqua t-elle, et qu'il ressortit la lame souillé par la lave à jamais maléfique de l'endroit, il m'imposa une malédiction qui m'oblige depuis lors à tuer tout les démons que je vois. Je n'ai que trop attendus ! Tayot tayot ! Vous réussissez presque a survivre. Mais non. Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) > Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >x etagere C'est une étagére cloué à la va-vite sur le mur par des gobelins sous payés (a l'arbaléte). Dessus, on peut voir une boule de cristal, une vieille lampe à huile et un jeu de carte étrange. >x lampe Une lampe à huile, comme dans Aladdin, sauf que Aladdin n'a jamais eu une lampe à huile qui ressemble autant à une lampe à huile que celle-ci. C'est en quelque sorte le modèle de toute les lampes à huiles du monde entier. Elle n'est cabossé que là où une lampe à huile est normalement cabossé, et renvoit les mêmes reflets cuivrés que toute bonne lampe à huiles qui se respecte. >frotter lampe Vous n'arrivez à rien comme ça. >prendre lampe A peine avez-vous frolé la lampe qu'un nuage de fumée sort de l'embout, produisant une toux fort impressionante de votre part. Sans grande surprise, une petit homme apparait sur un nuage de poussière. Il porte des lunettes , et, en vous voyant, il s'ébroue joyeusement. Tin din ! - Quoi ? Lui répondez-vous, en ouvrant en grand votre bouche - manière de montrer des canines qui feraient palir de jalousie le tigre moyen. Le rictus sauvage déstabilise quelque peu le génie. - Je... J'ai dit... Euh... Tin din ? Par principe démoniaque, comme acteur important du marché des voeux, vous n'aimez pas les Djinns, ces sous-traitants qui ne livrent jamais à l'heure des produits contrefaits, rarement aux normes de sécurité minimales institué par le comité des voeux. L'imaginaire populaire a souvent attribué ces défauts de conceptions à une sorte de caprice, mais la réalité est bien plus simple : ils sont dû à une incompétence de ces intermittents du spectacle, et à rien d'autre. Le marché des voeux en est encore a se battre pour restaurer la relation de confiance client/vendeur après la crise de confiance causé par les génies. Le djinn regarde alternativement vos ailes, vos cornes et la lueur maléfique qui dance dans vos yeux, puis la lueur de la comprehension éclaire son visage. -Oh. Euh... Je vois. Pourquoi faut-il toujours que cela tombe sur moi ? Bon sang, Amenierry ! Tu sais combien il y a d'humain dans cette dimension ? Tu sais combien il y a de gentils, de doux, de gens calme et honnête qui ne demandent qu'à un ou deux ptits voeux avant de mourir ? Alors que vous le regardez se tortiller sur place comme un canard pris au piège, un torrent de marmonnement de plus en plus aigus sort de sa bouche. - S'en est assez ! Lui criez-vous, mais, loin de faire attention a vous, ses jérémiades recommence de plus belles. - Oh grand Djinn supérieur, pourquoi vouloir la mort d'un de tes sujets ? Que t'ai-je donc fait, au nom de Vlad ? Qui suis-je pour mériter les foudres de la malchance et des démons ? Non ! Cela ne se peut ! Je suis maudit, oh, par mon saint voeux, je suis maudit ! Vous finissez par vous plaquer les mains contre les oreilles, mais la voix du génie retentit alors dans votre esprit. Il vous vint soudain - avec une immense joie, comme a chaque fois - des idées de meurtres. Tuer un Djinn n'est pas chose aisée... Vous choisissez la bonne vieille méthode cannibale enseigné en première année de Démonologie. D'un coup sec, vous ouvrez votre bouche et avalez le Djinn, sans prévenir. GROUMPF ! Malheur vous en a pris ! Car ce génie est un septième dan dans l'art tactique et secret du Ni-Vû-Niko Nu, l'art ancestrale Djinn de comment-s'échapper des-récipients-hermétique. Utilisant des coups émérite, voici que le génie pousse, et tape, et grogne... Vous avez à peine le temps de sentir une petite aigreur d'estomac que vous explosez en morceau malodorant sur le beau tapis vert feuille de votre bureau. Vous aurez au moins la consolation de savoir que le génie sans est sortit sans une égratignure... Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) > Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >x ratelier Le ratelier est un petit meuble d'acier où se trouve vos deux plus belles pièces de collection : une épée bâtarde étrangement sculpté et une arbalète à poulis lorgnant coté baliste de guerre lourde. Peut-être que prendre une arme serait une bonne idée... Mais la violence n'amene que la violence, dit-on. >* dommage pour la lampe : on peut proposer "frotter" [Commentaire enregistré.] >x arbalete L'arbalète est une monstruosité technique bandé au point de non retour. La corde tendue vibre d'elle-même en produisant un bourdonnement sourd, prêt a relacher l'équivalent d'un tronc d'arbre taillé approximativement en forme de carreau. L'étrier est de la taille d'un petit éléphant et pèse une demi tonne, facile. Quiconque se trouve du mauvais côté de cette arme comprend tout de suite son erreur. >prendre arbalete Arrêt sur image. Stop. Le temps s'arrête pour mieux permettre d'apprecier la beauté de la scéne. Vous êtes penché sur le ratelier où se tapit la forme impressionante de l'arbalète, une serviette autour de votre taille. Un peu plus bas, dans le sol, une mite des sables se repose traquillement en grignotant deux ou trois kilos de roche - une mite des sables, ça fait un mètre en moyenne. Cochonnout, votre cochon de compagnie, se cache dans le recoin de la pièce et dort pour l'instant profondément juste au dessous de l'étagère. Avancement en ralentis, image après image. Voilà qu'une légére brise traverse la pièce - juste assez pour destabiliser légérement l'alignement des objets sur l'étagère. Ils ont toujours été plus ou moins en équilibre, de toute façon, et la loi de murphy trouve un drastique moyen de s'exprimer. Soudainement, sous l'effet du nouvel alignement, l'étagère entre en vibration de phase avec elle-même. Il n'en faut pas plus pour qu'un des clous qui la maintient au murs se dévisse et tombe sur Cochonnout. Cochonnout n'apprecie pas : le voilà qui grouine strident. Il faut dire que Cochonnout a toujours été un cochon un peu peureux... enfin bref. Or, il se trouve qu'il imite ainsi, sans le vouloir, parfaitement le cris du papillon météo quantique, le principal prédateur de la mite des sables. La voilà soudainement alerte : elle se lève, creuse frénétiquement au plafond - votre sol à fou. Crac ! Fait-elle lorsqu'elle émerge, genre taupe monstrueuse, juste en dessous du ratelier d'arme. Schbouing ! Fait la baliste, qui se décharge sous la violence du choc. La seule chose qui soit pire qu'un tronc d'arbre dans le ventre a la vitesse de croisière d'un TGV, c'est ce même tronc d'arbre dans la tête. Vous n'avez pas le temps de comprendre ce qui s'est passé que votre cervelle va repeindre le mur. Les mauvaises langues dironts que cette succession d'événements est la plus improbable qui existe. Bah ! Ce sont des mauvaises langues. Il en existe au moins deux autres plus improbable. Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) > Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >credit Je ne connais pas ce verbe. >crédit Je ne connais pas ce verbe. >aide "Il était une fois" est une fiction interactive parodiant sans vergogne les jeux de rôles bourrins, les poncifs du genre et les films stupides. Vous êtes Smfstzag, démon au service du Mal et de votre portefeuille d'action, P.D.G de Donjon Corporate (S.A), une société donjonique virtuelle. Le but, le votre, est de rester en vie, si ce n'est dans un état acceptable, au moins en gardant toute vos capacités cognitive. Dans ce bureau à priori banal se cache plein de façon amusante et différente pour vous faire tuer, mais une seule pour vous garder en vie. Saurez-vous la trouver ? >i Vous n'avez rien. >l Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >x etagere C'est une étagére cloué à la va-vite sur le mur par des gobelins sous payés (a l'arbaléte). Dessus, on peut voir une boule de cristal, une vieille lampe à huile et un jeu de carte étrange. >x clou Vous ne pouvez voir une telle chose. >x clous Vous ne pouvez voir une telle chose. >x carte Un jeu d'atout récupéré vous ne savez où. Les cartes semblent être en ivoire et représentent de drôle de petits humains engoncés dans des costumes improbables. Une licorne est inscrite sur le dos de ces cartes >* cool la référence à Ambre ;) Zelazny powaaa !!! [Commentaire enregistré.] >toucher la carte Vous ne sentez rien de particulier. >toucher cartes Vous ne pouvez voir une telle chose. >frotter carte Vous n'arrivez à rien comme ça. >prendre carte Les cartes sont froides au toucher. Vous en prenez une, au hasard - celle representant une jolie jeune femme rousse et sans vraiment y faire attention, vous vous concentrez dessus. Dans vos mains, les cartes se font plus froide. Soudain, la jeune femme bouge ! - Que desirez-vous ? Vous vous excusez du dérangement et la jeune femme répond avec convenance que ce n'était rien. Sans vraiment vous en rendre compte, il apparait soudain que vous êtes en discussion avec cette personne étrangement cultivé et répondant avec élégance, quoique de manière assez flous à vos questions. Imperceptiblement, la discussion change de sujet, et vous vous mettez soudainement à parler de votre travail de P.D.G du donjon, de la solitude de votre profession, des dernieres avancées du marché donjonique, de vos vacances dans les autres plans avec ces petites succubes bien mignonettes, de votre dégout profond pour la Gehenne et de l'étrange manie que vous avez de récuperer divers objets de vos voyages, comme, oh, tient, par exemple, ce jeu de carte (donné par un ami durant un séminaire : Les effets de l'ail sur les ragouts de chauve-souris). -Attendez-moi ici, fit-elle au bout d'un petit moment, lorsque vous vous rendez compte que vous avez épuisé le seul sujet de conversation : votre vie entière. Finalement, elle revient a la tête d'une petite troupe de gens en arme. - Cela n'a rien de personnel, vous savez, mais je ne peux pas courir le risque d'avoir un jeu d'atout se baladant en ombre. Vous tentez de réagir, mais il est trop tard : les troupes passent de votre coté de la connexion et vous mettent en charpie avant de récuperer le jeu. Franchement, vous croyez que c'était une bonne idée de se coltiner avec les princes d'Ambres, hein ? En tout cas, rassurez-vous : votre mort n'avait rien de personnelle, c'est toujours ça de pris. Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) > Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. > Je vous demande pardon ? >x bureau Ah... Votre bureau, votre outil de travail numéro 1. C'est bien gentils de faire des veuves et des orphelins, de violer les premières et de manger les seconds, mais sans une sacrée organisation de tout les instants, votre si beau Donjon partirerait en morceau. Sur le plan de travail en bois, un tas de dossiers causé par la dernières grève des fées et autres nymphes féeriques est jeté en pature au chaos le plus complet. Il faudrait penser à les ranger... Une nymphe, c'est vraiment utile pour attirer la piétaille elfique par ici, mais qu'est-ce que c'est embêtant ! Vous n'aviez pas ce genre de problème avec les gobelins. Bon, ces derniers ont du mal a se souvenir de leur noms, mais ces séides maléfiques n'ont jamais organisé de grêves, eux. Un petit tiroir S'OUVRE (OUI, S'OUVRE) dans le renfoncement de votre bureau, et une petite chaise fort inconfortable est posé derrière. Il y à un certain temps que vous songez à la changer, mais comme tout les démons, vous n'aimez pas beaucoup le confort, même si ça veut dire avoir le dos en compote et quatre cervicale déplacé après une séance de travail. >x dossiers Des feuilles recouvertes soit de votre écriture haché et suintante, soit de celle sybilline, amusante et légérement radioactive (ça se voit a l'étrange luminescence qui s'en dégage. Pour les fées, l'encre est peut-être de la larme de Lune où vous ne savez pas quoi d'autre, mais vous savez pertinement qu'elles rajoutent des fortes doses de plutonium dedans derrière votre dos) des être féerique. Trente-septième jour de grève générale et déjà la moitié du secteur des plantes herbacées sens dessus-dessous. Peut-être faudrait-il penser à leur lacher les troupes des Choses Réellements Stupides que vous gardez en reserve, mais vous avez un peu peur des possibles répercussions de l'affaire. >* lol l'acronyme ! / typo : réserve / lacher avec a circonflexe) [Commentaire enregistré.] >prendre dossier Bonne idée. Trouver un moyen de résoudre la crisounette en cours et charcler de la nymphe vous détendra certainement. Vous vous asseyez à votre chaise en vous cassant deux vertébres - foutue chaise ! - et reprenez depuis le début. Les petites chiantes exigent de nouvelles conditions salariales, une restructuration de l'habitat, la retraite a 720 ans et la gratuité de l'énergie magique à hauteur maximum de 1450 MégaThaum par ans. Vous avez déjà statué sur les conditions de retraites - proposition inacceptable alors que le vieillissement de la population fait des ravages parmis les immortels - et l'énergie magique - Le vieux Scotty, le magicien en chef du donjon, vous ayant affirmé que les fées utilisaient a elle-seule 20% de l'énergie délivré par la centrale en futilités, comme en clochettes invisibles, en pulsations lumineuses et en sorts de lévitation de masse. Vous êtiez en train de calculer très précisement les nouvelles bases tarifitaires pouvant être remanié sans que quiconque ne s'aperçoive de la hausse des prix, quand soudain, un grand craquement résonne dans l'air. Soudainement, Le voici devant vous. Il vous dévisage et Sa commissure des lèvres grimace un rictus imperméable a toute tromperie, toute corruption. C'est Lui. On le dit plus ponctuel que la Mort, plus impitoyable que Chmullu, plus indicible que Nayarthotat'N'Cht'ep'Yganigourath. Il est là, c'est le Controleur des Impôts Infernaux ! - Ah... Ah ah ah ! Ricane t-il tout bas. Smfstzag... Voici un cas dont j'aurais le plaisir de m'occuper personnellement. Votre visage se décompose en un masque de peur horrible. Vous aviez toujours crus que le Contrôleur était une bête mythique, un père fouettard qu'on racontait au gentils démons pour les réprimander de leur conduite. Il est comme vous vous l'êtiez toujours imaginé, grande forme noir dans la tenue officielle des inspecteurs, deux yeux perçants volant dans une capuche de néant. - L'Enfer réclame sa pitance, Soldat. L'Administration réclame son dû, et les Impôts sont le bras droit de l'Administration ! Je suis sa main vengeresse ! Sais-tu, pauvre Smfstzag combien Tu dois a l'Administration ? Combien tu ME dois, mort en sursis ? Paralysé, vous bafouillez un petit moment. - Comment ?! - Peut-être... peut-être... je sais pas (votre voix se fait toute petite et aigue)... peut-être deux, trois... millions de pièce d'or. L'Ange Contrôleur vous fixe de ses orbites vide, puis éclate d'un rire qui vous secoue les entraille. Il sort une fine rapière de sa manche, et sans que vous n'ayez rien pu faire, vous embroche d'un coup parfaitement ajusté. Allez, ne soyez pas aussi triste. Il y a plein de gens qui vous attendent en Enfer pour vous dire deux mots... Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) > Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >x bibliotheque Grande bibliothéque en obsidienne importé d'enfer, dont les rayonnages chics sont recouvert de Livres Qu'Il Faut Avoir Lu mais que personne ne lit jamais. Une version traduite du Nécronomicon, superbement enluminé et traînant la poussière, des grands classiques comme "Romero et Caspiette" et les collections complètes d'auteurs de la grande antiquités, "l'Odyssée 1", "l'Odyssée 2, le retour", "l'Odyssée 3, la revanche de l'Odyssée". Dans un coin plus petit, vous avez entreposé les livres que vous lisez vraiment. "Les Trentes Principes économiques Donjonnesque", des vieilles revues de "Démon Magazine", "Lancer un sort de magie en six leçons sans tout faire pêter" et le fameux "Howto Conquier the World", compendium hermétique de tout les moyens de conquerir, puis de garder, un monde de taille raisonnable. >prendre revue Vous ne pouvez voir une telle chose. >prendre revues Vous ne pouvez voir une telle chose. >* de vieilles revues (et non pas "des vieilles revues") [Commentaire enregistré.] >x compendium Vous ne pouvez voir une telle chose. >x odyssee Vous ne pouvez voir une telle chose. >pousser bibliotheque Vous en êtes incapable. >ouvrir tiroir Vous ouvrez le tiroir. >fouiller tiroir >* il y a quoi dedans ??? [Commentaire enregistré.] >x tiroir Le tiroir contient un communicateur metallique en forme d'aîle de chauve souris et un magazine PlaySucube de seconde main. >x magazine Ce magazine n'est bien entendus pas le votre - c'est du moins la version officiel si Conchita, la bonne à tout faire du Donjon, le trouvait en votre possession. Remplis de photo d'Incube dénudé, au torse viril et a la poitrine musclé dans des positions embarassantes, vous aimez à le feuilleter. En secret il va sans dire. >prendre magazine Bon, personne à coté de vous, personne derrière, personne devant, personne - un leger coup d'oeil - dans les dimensions supérieures et inférieures, aucun être invisible ou déphasé : Vous êtes vraiment alone in the dark. Le PlaySuccube rayonne légérement dans votre conscience coupable. Le fondamentalisme religieux des êtres Démoniaques est quelque chose d'étrange, mais de parfaitement comprehensible pour des bon vivants dont la principale fonction est de servir de grand méchants dans toute les religions. Votre réputation de monstre sanguinaire et débauché a pris deux siècles pour... Mais que ? D'un seul coup, l'espace se détend et se distord, signe d'un sort de téléportation particulièrement puissant. Mirabella vient d'apparaître au millieu de votre bureau ! Oui, Mirabella, votre petite quart de soeur ! Son visage est angoissé - la dernière fois qu'elle avait arboré un visage angoissé, deux villes de tailles moyennes avaient sauté. Vous reculez prudemment. - Smfstzag, il faut que je parles ! - Quoi, Mirabella, que veux-tu dire ? Dans un élan de cruauté, vous lui proposez votre chaise, mais elle refuse. - Smfstzag, je ne suis pas ta soeur... - Nooooonnn ! Criez-vous a la cantonnade. Ce n'est pas possible Mirabella, est-ce Brian qui t'as convaincue de ce mensonge ? - Non, Smfstzag, Paul m'a raconté toute la véritée, car il faut que tu le sache, je suis... Amnésique ! Quand Cristophe et Anna m'ont renversé sur l'autoroute, j'ai totalement oublié de notre famille. - Ce n'est pas possible ! - Si. Ta mère a fait croire a Charlie que Cristophe et moi nous étions amoureux, pour que Jessica, sa soeur, ne puisse l'épouser sous la fausse couverte d'Annabelle. Seulement, le plan avait un défaut : Brian ! Ces révélations vous stupéfie et vous clous sur place. Il est temps de raconter la véritée ! - Mirabella, il faut que je te dise aussi quelque chose... - Toi aussi tu es amnésique, Smfstzag ? - Non, Mirabella. Je ne suis pas ton frêre ! - Nooooooonnn ! Vous enlevez le masque que vous portez. - Je suis Stephan qui a pris l'apparence de Smfstzag pour échapper à ma famille qui voulait me marier a Jessica parce que je l'avais engrossé. - Est-ce possible, Stephan ? Car moi je suis... Elle aussi enlève son masque, et vous voyez devant vous le visage d'Alexandra ! - Est-ce toi mon amour ? Votre dernier masque s'enlève. - Brian ! Tu étais caché tout ce temps sous l'identité de Stephan ? - Oui mon amour ! Et plus jamais nous n'aurons a nous préoccuper de ce que pense les autres... Vous vous embrassez tendrement. Et vous-même, me direz-vous ? Le script n'en dit rien, mais le vrai Smfstzag est certainement mort de la main de Stephan/Brian/Qui que ce soit/ quelques semaines auparavant. C'est pas de chance, hein ? Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) >Vous fermez le tiroir. Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. >* mdr le feuilleton australo-piplette "amour goule et belphegor" [Commentaire enregistré.] >ouvrir tiroir Vous ouvrez le tiroir. >x tiroir Le tiroir contient un communicateur metallique en forme d'aîle de chauve souris et un magazine PlaySucube de seconde main. >fermer tiroir Vous fermez le tiroir. >x tiroir C'est un tiroir qui S'OUVRE. Il S'OUVRE généralement en produisant un bruit metallique tandis qu'il pivote pour S'OUVRIR. Il ressemble exterieurement a un tiroir qui S'OUVRIRAIT. Pfff... >ouvrir tiroir Vous ouvrez le tiroir. >x communicateur Un communicateur personnel en forme d'aile de chauve-souris, a placer sur votre poitraille. Il permettrait de discuter directement avec le chef des mages du Donjon si activé avec le mot de commande : "Energie, Scotty !". Scotty, c'est le nom du chef en question. Un gars sacrément intelligent, capable de penser en quatorze dimension, dont quatre enroulée sur elles-même, trois qui dansent la java et trois autres qui jouent au mime, mais un peu fêlé de la cafetière, si vous voyez ce que vous voulez dire. Toujours a s'amuser avec la centrale a énergie Thaumique du complexe. Un jour, il fera tout pêter - vous esperez simplement être dans la dimension d'à coté lorsque cela arrivera. >* poitrail ! [Commentaire enregistré.] >porter communicateur (vous prenez d'abord le communicateur) Vous prenez le communicateur et le mettez sur votre serviette, en espérant que le port d'un vrai vêtement ne soit pas un accessoire indispensable pour l'échange. - Energie, Scotty ! Inutile de vous dire que vous vous sentez très bête. Heureusement pour votre égo, la voix de Scotty, vaguement éraillé, se met soudain a résonner. - Achtung ! Chef, j'allais justement vous appeller ! C'est... C'est extraordinaire ! Je viens de faire la découverte du siècle ! La fission du Thaum, la FISSION DU THAUM ! Il babille de plus en plus vite, excité par sa nouvelle, et sa voix devient bientôt incomprehensible. - Calmez-vous, ou je vous grille. - Mein Fuhrer, la fission du thaum ! Savez-vous les retombées pratiques que cela pourrait avoir ? De l'énergie illimité et gratuite ! La Magie regnerait enfin en maître ! Nous pourrions faire ce que nous voudrons ! Plus de travail ! Ach ! Et sur le plan théorique, oh, je n'y crois pas, il faut que je prenne un verre... Il reprend son souffles et se contraint au calme. Il serait dommage de mourir d'une crise cardiaque en ce moment, alors qu'il vient de faire une découverte qui mériterait au moins le prix Babel de magie théorique. - Euh... Dites, faites-vous après un petit moment. Si c'est dangereux, trouvaille du siècle ou pas, vous irez faire vos expérience en dehors. Vous connaissez votre Scotty. Le donjon ne s'est pas tout a fait remis des alligators mutants qu'il avait relaché dans les toilettes et vous avez eu un mal fou a enlever le quatrième oeil qui vous avez poussé au millieu du front la dernière fois que vous lui aviez fait une visite. - Dangereux ? Ach, nein. La masse critique est bien supérieur. Je n'ai pas réussis a synthétiser suffisament de Thaumicron instable pour entretenir une vrai réaction en chaine. C'est dommage. Le seul effet que ça a, actuellement, c'est d'envoyer des radiations N dans tout les complexe. Si c'était dit pour vous rassurer, c'est raté. - Radiation N ? - Radiation Naheulbeuk, du nom du scientifique qui les a découvertes, répond t-il. Pour faire du mal a quelqu'un, il faudrait qu'elles trouvent un catalyseur comme... et bien, une communication subspatiale ouverte, par exemple. Mais où voulez-vous trouver une communication subsptatiale ouverte dans ce Donjon paumé au millieu de nulle-part, hein, chef ? Chef ? Chef ? Scotty a beau s'escrimer, on ne retrouvera ce qui reste de votre corps en bouillis que quelques heures plus tard. Ça vous apprendra a faire joujou avec des forces qui vous dépasse. Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) >Vous fermez le tiroir. Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. > Je vous demande pardon ? >ouvrir tiroir Vous ouvrez le tiroir. >x tiroir Le tiroir contient un communicateur metallique en forme d'aîle de chauve souris et un magazine PlaySucube de seconde main. >prendre communicateur Vous prenez le communicateur et le mettez sur votre serviette, en espérant que le port d'un vrai vêtement ne soit pas un accessoire indispensable pour l'échange. - Energie, Scotty ! Inutile de vous dire que vous vous sentez très bête. Heureusement pour votre égo, la voix de Scotty, vaguement éraillé, se met soudain a résonner. - Achtung ! Chef, j'allais justement vous appeller ! C'est... C'est extraordinaire ! Je viens de faire la découverte du siècle ! La fission du Thaum, la FISSION DU THAUM ! Il babille de plus en plus vite, excité par sa nouvelle, et sa voix devient bientôt incomprehensible. - Calmez-vous, ou je vous grille. - Mein Fuhrer, la fission du thaum ! Savez-vous les retombées pratiques que cela pourrait avoir ? De l'énergie illimité et gratuite ! La Magie regnerait enfin en maître ! Nous pourrions faire ce que nous voudrons ! Plus de travail ! Ach ! Et sur le plan théorique, oh, je n'y crois pas, il faut que je prenne un verre... Il reprend son souffles et se contraint au calme. Il serait dommage de mourir d'une crise cardiaque en ce moment, alors qu'il vient de faire une découverte qui mériterait au moins le prix Babel de magie théorique. - Euh... Dites, faites-vous après un petit moment. Si c'est dangereux, trouvaille du siècle ou pas, vous irez faire vos expérience en dehors. Vous connaissez votre Scotty. Le donjon ne s'est pas tout a fait remis des alligators mutants qu'il avait relaché dans les toilettes et vous avez eu un mal fou a enlever le quatrième oeil qui vous avez poussé au millieu du front la dernière fois que vous lui aviez fait une visite. - Dangereux ? Ach, nein. La masse critique est bien supérieur. Je n'ai pas réussis a synthétiser suffisament de Thaumicron instable pour entretenir une vrai réaction en chaine. C'est dommage. Le seul effet que ça a, actuellement, c'est d'envoyer des radiations N dans tout les complexe. Si c'était dit pour vous rassurer, c'est raté. - Radiation N ? - Radiation Naheulbeuk, du nom du scientifique qui les a découvertes, répond t-il. Pour faire du mal a quelqu'un, il faudrait qu'elles trouvent un catalyseur comme... et bien, une communication subspatiale ouverte, par exemple. Mais où voulez-vous trouver une communication subsptatiale ouverte dans ce Donjon paumé au millieu de nulle-part, hein, chef ? Chef ? Chef ? Scotty a beau s'escrimer, on ne retrouvera ce qui reste de votre corps en bouillis que quelques heures plus tard. Ça vous apprendra a faire joujou avec des forces qui vous dépasse. Bon, d'accord. Vivre 7000 ans dans les tréfonds des abysses, parmis des indicibles terreurs dont la vision même tuerait n'importe quel homme saint d'esprit et mourir aussi bêtement, ça vous laisse un arrière gout désagréable dans la bouche Avec un peu de chance, vous pourrez vous réincarner d'ici quelques millénaires. Voulez-vous recommencer ? (O/N) >Vous fermez le tiroir. Votre bureau Votre bureau, au plus profond du plus profond couloir de votre donjon. Des objets de tout les plans et de toutes les dimensions sont accumulé dans un fratras invraisemblable. Un ratelier d'arme expose des instruments qui n'ont pas été utilisé depuis des années. Une petite étagére expose divers objets magiques ou artistiques, ramené de vos pérégrinations en enfer. Sur l'un des murs est accroché une peinture representant l'Indicible Pandémonium dans des jolies tons pastelles. Mais dans un coin se trouve les véritables signes d'une occupation sérieuse : Un bureau remplis de paperasse et une bibliothéque fatigué, devant une porte menant au reste de vos appartements. Vous vous demandez peut-être pourquoi la salle de bain communique avec votre bureau. Rassurez-vous, nous aussi. > Je vous demande pardon ? >fouiller bureau Ah... Votre bureau, votre outil de travail numéro 1. C'est bien gentils de faire des veuves et des orphelins, de violer les premières et de manger les seconds, mais sans une sacrée organisation de tout les instants, votre si beau Donjon partirerait en morceau. Sur le plan de travail en bois, un tas de dossiers causé par la dernières grève des fées et autres nymphes féeriques est jeté en pature au chaos le plus complet. Il faudrait penser à les ranger... Une nymphe, c'est vraiment utile pour attirer la piétaille elfique par ici, mais qu'est-ce que c'est embêtant ! Vous n'aviez pas ce genre de problème avec les gobelins. Bon, ces derniers ont du mal a se souvenir de leur noms, mais ces séides maléfiques n'ont jamais organisé de grêves, eux. Un petit tiroir S'OUVRE (OUI, S'OUVRE) dans le renfoncement de votre bureau, et une petite chaise fort inconfortable est posé derrière. Il y à un certain temps que vous songez à la changer, mais comme tout les démons, vous n'aimez pas beaucoup le confort, même si ça veut dire avoir le dos en compote et quatre cervicale déplacé après une séance de travail. >pousser chaise Vous en êtes incapable. >prendre tout Rien n'est disponible ! >* grrrr monsieur est prevoyant ! [Commentaire enregistré.] >credits L'Auteur remercie : Hugo LABRANDE, pour le chef d'oeuvre d'invention qu'est "Les espions ne meurent jamais" Hugo LABRANDE remercie : Equipe technique : Graham Nelson pour l'invention révolutionnaire de la caméra Inform 6 qui permet de tourner des fictions interactives / Jean-Luc Pontico pour le doublage des bibliothèques Collègues : les gens de ifiction.free.fr pour leur soutien, leur enthousiasme, leurs réponses, leur passion - merci à JB Ferrant (qui a lancé une telle idée de jeu sur le forum et m'a grâcieusement cédé l'idée), Eric Forgeot, Adrien Saurat, stormi, Stab, Eriorg et les autres ! Influences : les films d'espionnage et/ou d'action, qui sont tellement drôles et que j'ai pris plaisir à parodier sans vergogne Bande originale du codage : trop d'artistes pour les nommer, mais merci à eux quand même, je suis sûr qu'ils se reconnaîtront... >* pense a credit au singulier aussi... [Commentaire enregistré.] >i Vous n'avez rien. >x me Vous ne pouvez voir une telle chose. >x moi Vous êtes Démon devant l'Eternel, votre nom est tout simplement imprononçable et votre tableau de chasse talonne de près celui de la mort. Pourtant, même après plusieurs éons a corrompre les mortels, vous aimez toujours votre job avec la naïveté d'un petit enfant. >x serviette Vous ne pouvez voir une telle chose. >* ah le fourbe ! [Commentaire enregistré.] >prendre serviette Vous ne pouvez voir une telle chose. > * ah non en fait, je crois que tu as oublié de mettre la serviette dans le le jeu ! [Commentaire enregistré.] >exit Je ne connais pas ce verbe. >quit Etes-vous sûr de vouloir quitter ? o